El Títere
Ahí, en su cuarto de dolor,
Una niña que está respirando olores de jeringuillas.
Ve delante de sus ojos la puerta fatal.
De una mirada escalofriante y teribl emente loco
Que espera la abertura de la puerta siniestra.
Pues, una libelula sale en ninguna parte
Con reflejos verdes, azules, amarillos y voluptuosidad.
La puerta se abierta, quedando aparecer
Un nube de polbo conmovedo
Cuando el viento entra con su soplo de magía.
Un esceleto grisáceo
Contraído sobre la cama blanca,
Que parece mirar al fondo, sin una palabra, con sus ojos vacios
Como un títere dislocado.
Le Pantin
Là, dans sa chambre de douleur,
Une petite fille est en train de respirer des odeurs de seringues.
Elle voit devant ses yeux la porte fatale.
D’un regard effrayant et terriblement fou
Qui espère l’ouverture de la sinistre porte.
Une libellule sort de nulle part
Avec des reflets verts, bleus, jaune et voluptuosité.
La porte s’ouvre, laissant apparaître
Un nuage de poussière émouvant
Quand le vent entre avec son souffle de magie.
Un squelette grisâtre
Recroquevillé sur le lit blanc,
Qui semble regarder au fond, sans une parole, avec ses yeux vides
Comme un pantin désarticulé.